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相似文献
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1.
Soient M une variété, V un ouvert de M, et P un opérateur différentiel elliptique du second ordre, à coefficients C et réels tel que P1 0. Soit AV l'opérateur induit par P dans l'espace de Banach C0(V) des fonctions continues sur V nulles au point à l'infini de V, muni de la norme du suprémum. On démontre que AV engendre un semi-groupe fortement continu à contraction ssi il existe K compact de V, h fonction continue strictement positive dans VβK et nulle au point à l'infini de V telle que (1 − P) h soit la distribution associée à une fonction continue non négative dans VβK. On en déduit immédiatement un résultat bien connu: si M est une variété de Cartan-Hadamard, AM engendre un semi-groupe fortement continu à contraction dans C0(M).Let M be a manifold, V an open set of M, and P an elliptic differential operator of the second order, with real C coefficients and such that P1 0. Let AV be the operator induced by P in the complex Banach space C0(V) of all continuous functions vanishing at the point at infinity of V, endowed with the supremum norm. One proves that AV generates a strongly continuous contraction semi-group iff there exists K compact of V, h continuous strictly positive in VβK and 0 at infinity of V such that (1 − P) h is the distribution associated to a nonnegative continuous function in VβK. One deduces immediately from that a well-known result: if M is a Cartan-Hadamard manifold, AM generates a strongly continuous contraction semigroup in C0(M).  相似文献   

2.
Soit une algèbre de Lie opérant par dérivations sur un anneau local commutatif noethérien (R, ,K=R/ ), et soit V l'anneau des opérateurs différentiels construits à partir de R et . Posons ( )={d /d( ) } et 0 = ( )/ : 0 est une algèbre de Lie qui opère sur K par dérivations et l'on peut construire un anneau d'opérateurs différentiels sur K à l'aide de 0, noté V0. Grâce au (V0V)-bimodule V/ V on définit l'induction (resp. la coinduction) de V0 à V par IndVv0=−v0V/ V (resp. CoindVv0=Homv0(V/ V,−)) et on donne un critère pour qu'un V-module soit induit (resp. coinduit) à partir de V0. Ces résultats sont des analogues de ceux, établis par Mackey pour les groupes de Lie et par Blattner pour les algèbres de Lie, analogues, basés sur la notion de système d'imprimitivité.Let be a Lie algebra acting by derivations on a commutative noetherian local ring (R, ,K=R/ ) and let V be the ring of differential operators built on R and . Defining ( )={d /d( ) } et 0 = ( )/ : 0 is a Lie algebra which acts on K by derivations, and we can construct a differential operators ring on K with 0, denoted by V0. With the help of the (V0V)-bimodule V/ V we define the induction (resp. coinduction) from V0 to V by IndVv0=−v0V/ V and we give a criterion for a V-module to be induced (resp. coinduced) from V0. These results are similar to those established by Mackey for Lie groups and Blattner for Lie algebras, which are based on the notion of the system of imprimitivity.  相似文献   

3.
We study from the point of view of potential theory some operators V which are “integrals of martingales” and noteworthy the formula (I + V)−1 = IN where N is a submarkovian kernel. We give an explicit expression of N when the filtration is finite and get the general case with an usual approximation procedure. Some links are made with the matrix theory (ultrametric and Stieltjes matrices) and the graph theory (flows and capacities) when the space is finite.

Résumé

On étudie, du point de vue de la théorie du potentiel, des opérateurs V du type “intégrales de martingale”, et notamment la formule (I + V)−1 = INN est un noyau sous-markovien. On donne une expression explicite de N dans le cas d'une filtration finie, et on traite le cas général par un procédé d'approximation usuel. On fait le lien avec la théorie des matrices (matrices ultramétriques et de Stieltjes) et la théorie des graphes (flots et capacités) quand l'espace est fini.  相似文献   

4.
Le nombre maximal de lignes de matrices seront désignées par:
1. (a) R(k, λ) si chaque ligne est une permutation de nombres 1, 2,…, k et si chaque deux lignes différentes coïncide selon λ positions;
2. (b) S0(k, λ) si le nombre de colonnes est k et si chaque deux lignes différentes coïncide selon λ positions et si, en plus, il existe une colonne avec les éléments y1, y2, y3, ou y1 = y2y3;
3. (c) T0(k, λ) si c'est une (0, 1)-matrice et si chaque ligne contient k unités et si chaque deux lignes différentes contient les unités selon λ positions et si, en plus, il existe une colonne avec les éléments 1, 1, 0.
La fonction T0(k, λ) était introduite par Chvátal et dans les articles de Deza, Mullin, van Lint, Vanstone, on montrait que T0(k, λ) max(λ + 2, (k − λ)2 + k − λ + 1). La fonction S0(k, λ) est introduite ici et dans le Théorème 1 elle est étudiée analogiquement; dans les remarques 4, 5, 6, 7 on donne les généralisations de problèmes concernant T0(k, λ), S0(k, λ), dans la remarque 9 on généralise le problème concernant R(k, λ). La fonction R(k, λ) était introduite et étudiée par Bolton. Ci-après, on montre que R(k, λ) S0(k, λ) T0(k, λ) d'où découle en particulier: R(k, λ) λ + 2 pour λ k + 1 − (k + 2)1/2; R(k, λ) = 0(k2) pour k − λ = 0(k); R(k, λ) (k − 1)2 − (k + 2) pour k 1191.  相似文献   

5.
6.
We prove the validity of the Critical path analysis for a continuum percolation model close to Golden–Kozlov one. This is obtained in the limit of strong disorder.

Résumé

On montre la validité de “Critical path analysis” pour un modèle de percolation continue proche de celui de Golden–Kozlov. Le résultat est obtenu à la limite de grand désordre.  相似文献   

7.
Dedicated to the memory of Marcel–Paul Schützenberger Cet article présente une étude des permutations qui évitent le motif de la permutation maximaleωN = NN − 1 . . . 1. Après avoir donné les définitions classiques, nous montrons que l’ensemble de ces permutations est un idéal pour l’ordre de Bruhat faible et faisons l’étude de ses éléments maximaux. Nous exhibons alors un algorithme pour calculer ces éléments et nous montrons que ceux-ci peuvent être obtenus à partir d’un automate. Nous terminons en donnant des estimations asymptotiques de leur nombre. This paper presents a study of permutations avoiding the patternωN = NN − 1 . . . 1. After recalling the basic definitions, we prove that this set of permutations is an ideal for the weak Bruhat order and begin the study of its maximal elements. We then present an algorithm that generates these elements and find out that they can be obtained from an automaton. Finally, we give some asymptotics about their number.  相似文献   

8.
Résumé. Soit L : T M → ℝ un lagrangien optique et homogène dans la fibre défini sur le fibré tangent d’une variété orientable de dimension n et γ un lacet régulier 1-périodique qui est un point critique non dégénéré d’indice p de l’action lagrangienne associée à L (il lui correspond alors un point périodique (x, v) du flot d’Euler-Lagrange (φt )). Soit T une transversale en (x, v) au champ de vecteurs dans la surface d’énergie et P l’application de premier retour de Poincaré dans cette transversale; on montre alors que le nombre de Lefschetz pour P en (x, v) est (−1)n−1+p. On en déduit que si 2nh est le nombre de multiplicateurs de Floquet réels strictement positifs et non nuls, alors: nh = n − 1 + p (mod 2). On explique comment déduire qu’un lagrangien optique quelconque défini sur le fibré tangent d’une variété orientable compacte de dimension paire de π1 non trivial a une une orbite périodique qui est soit dégénérée, soit a un exposant de Floquet hyperbolique dans tout niveau d’énergie au dessus du niveau critique de Ma?é.   相似文献   

9.
On attache à tout graphe G son polynôme chromatiqueχG (λ), qui dénombre ses colorations régulières avecλ couleurs. D’après Stanley, on sait que |χG ( − 1)| est égal au nombre d’orientations acycliques du graphe, un résultat qui fut raffiné par Greene et Zaslavsky. Nous nous proposons de l’affiner davantage en interprétant, avec l’aide de certaines orientations acycliques, les coefficients deχG (λ) développé en puissances de λ et surtout en puissances de (λ −  1). L’utilisation systématique des fonctions génératrices des fonctions d’ensembles permet d’avoir des démonstrations très courtes et explicatives. Elles se veulent une réponse à la suggestion faite par Gebhard et Sagan, qui ont déjà trouvé des démonstrations combinatoires de deux résultats de Greene et Zaslavsky. Les fonctions d’ensembles permettent aussi d’établir une série d’interprétations nouvelles de l’invariant βGde Crapo. Cet article donne également un nouvel éclat aux résultats classiques de Cartier, Foata, Viennot, Brenti, Gessel et Stanley. The chromatic polynomialχG (λ), which is associated with each graph G, enumerates its regular colorations with λ colors. Stanley showed that |χG ( − 1)| is equal to the number of acyclic orientations of the graph, a result that was refined by Greene and Zaslavsky. The purpose of the paper is to show that a further refinement can be obtained by interpreting each coefficient of χG(λ), when the polynomial is developed with respect to powers of λ and (λ −  1). A systematic use of the generating functions for set functions enables us to have very short and instructive proofs. Gebhard and Sagan, who had already found combinatorial proofs of two results by Greene and Zaslavsky, suggested that further proofs were to be found. Finally, the set functions algebra allows us to establish a series of new interpretations for Crapo’sβG invariant. This paper also brings a new light to the classical results due to Cartier, Foata, Viennot, Brenti, Gessel and Stanley.  相似文献   

10.
Résumé Une lame plate est située dans un fluide visqueux. Un courant la traverse à une vitesse constante après un commencement impulsif àt=0. Dans cet article nous étudions le mouvement de la couche limite correspondante dans le sillage. A chaque instant sa forme ressemble à celle décrite par Goldstein, suivant une courbe cubique derrière la lame qui s'élargit continuellement. La pression s'accroit commet 1/6. De plus, la «couche triple» découverte par Stewartson et Messiter existe près du dos de la lame.A la distancex derrière la lame, la vitesse perpendiculaire à la lame perd sa continuité à travers le courant àt=x/U. Nous trouvons la grandeur de cette discontinuité.  相似文献   

11.
Heilmann et Lieb ont introduit le polynôme de couplage μ(G, x) d’un graphe G = (V, E). Nous prolongeons leur définition en munissant chaque sommet de G d’une forme linéaire N-dimensionnelle (ou bien d’un vecteur) et chaque arête d’une forme symétrique bilinéaire. On attache donc à tout r-couplage de G le produit des formes linéaires des sommets qui ne sont pas saturés par le couplage, multiplié par le produit des poids des r arêtes du couplage, où le poids d’une arête est la valeur de sa forme évaluée sur les deux vecteurs de ses extrémités. En multipliant par (−1)r et en sommant sur tous les couplages, nous obtenons notre polynôme de couplage N-dimensionnel. Si N = 1, le théorème principal de l’article de Heilmann et Lieb affirme que tous les zéros de μ(G, x) sont réels. Si N = 2, cependant, nous avons trouvé des graphes exceptionnels où il n’y a aucun zéro réel, même si chaque arête est munie du produit scalaire canonique. Toutefois, la théorie de la dualité développée dans [La1] reste valable en N dimensions. Elle donne notamment une nouvelle interprétation à la transformation de Bargmann–Segal, aux diagrammes de Feynman et aux produits de Wick.Heilmann and Lieb have introduced the matching polynomial μ(G, x) of a graph G = (V, E). We extend their definition by associating to every vertex of G an N-dimensional linear form (or a vector) and to every edge a symmetric bilinear form. For every r-matching of G we define its weight as the product of the linear forms of the vertices not covered by the matching, multiplied by the product of the weights of the r edges of the matching, where the weight of an edge is the value of its form evaluated at the two vectors of its end points. Multiplying by (−1)r and summing over all matchings, we get our N-dimensional matching polynomial. If N = 1, the Heilmann–Lieb theorem affirms that all zeroes of μ(G, x) are real. If N = 2, however, there are exceptional graphs without any real zero at all, even if the canonical scalar product is associated to every edge. Nevertheless, the duality theory developed in [La1] remains valid in N dimensions. In particular, it brings new light to the Bargmann–Segal transform, to the Feynman diagrams, and to the Wick products.Received: February 2004 Revision: July 2004 Accepted: August 2004  相似文献   

12.
The Compendy de la praticque des nombres (1471) is one of a number of commercial arithmetics produced in southern France during the medieval period. Its interest and originality rest in its treatment of problem-solving. The author of the text limited his treatment to an in-depth analysis of only a few types of problems, not treating particular cases but rather emphasizing general methods. The sources from which he drew were very close to the Liber abbaci of Leonardo Fibonacci and many of them were new to the southern French arithmetic tradition. Thus, the Compendy sheds new light on the transmission of arithmetic thought into Europe. Copyright 2000 Academic Press.Le Compendy de la praticque des nombres (1471) est un traité qui appartient au groupe des arithmétiques commerciales du Sud de la France. L'intérêt et l'originalité du texte résident dans la partie consacrée à la résolution de problèmes. L'auteur sélectionne quelques types de problèmes seulement, auxquels il consacre une longue étude, délaissant les cas particuliers pour privilégier les méthodes. Ce faisant, il utilise de nouvelles sources, proches du “Liber abbaci” de Léonard de Pise, étrangères aux autres arithmétiques françaises de la même famille. Le Compendy nous apporte ainsi un éclairage nouveau sur la transmission de l'algorisme. Copyright 2000 Academic Press.MSC subject classifications: 01A35; 01A40.  相似文献   

13.
Dans le livre V des Eléments d'Euclide, la définition 17, du di isou logos, se compose de deux énoncés juxtaposés, qui ne sont pas équivalents. Le premier étant une simple réfection du théorème V,22, il convient de regarder le second seul comme authentique, comme le suggérent aussi bien l'emploi de l'expression di isou en géométrie grecque, que l'analyse précise de la tradition indirecte. En conséquence, la définition 17 doit être débarrassée de sa première partie; la définition 18.1, celle de la proportion réglée, doit être restituée comme authentique; la définition 18.2, de la proportion déréglée, doit être réduite à son libellé original, analogue à celui de 18.1.In Euclid's Elements V, Definition 17 (di isou logos) consists of two statements, which are not equivalent. The first one being a remake of theorem V,22, the second is the only one to be taken as genuine. This can be proved by the use of the expression di isou in Greek geometry, and also by a close scrutiny of the various witnesses of this part of the text. Consequently, Definition 17 should be cleared of its first part; Definition 18.1, of the ordered proportion, should be restored as genuine; Definition 18.2, of the perturbed proportion, should be reduced to its original core, and made similar to 18.1.  相似文献   

14.
Sans résumé Les résultats obtenus parM. Humbert ont déjà été trouvés parM. Weierstrass bien des années auparavant et communiqués par lui dans son, cours sur les fonctions abéliennes. Mais la méthode suivie par les deux savants est tout à fait différente. ChezM. Weierstrass les conditions pour qu'une intégrale de la forme ∫R(x,y)dx soit une fonction algébrique dex découlent, comme simple corollaire, du théorème sur la réduction de chaque intégrale de la forme considérée à une somme d'intégrales normales de la première, de la seconde et de la troisième espèce. Pour effectuer cette réduction il faut et il suffit de conna?tre: 1o les coefficients des puissances négatives det aux environs de tous les points analytiques pour lesquels le développement deR(x t,yt)dxt/dt contient en général des puissances négatives det; 2o la valeur deR(x, y) pourp points analytiques réguliers (a 1, b1), …, (tp, bp) choisis arbitrairement. Le, théorème deM. Weierstrass est cité, quoique sans démonstration, dans la thèse inaugurale deM. Hettner (Berlin, 1877).  相似文献   

15.
Gersonides' Maaseh Hoshev (The Art of Calculation) is a major work known for its early use of rigorous combinatorial proofs and mathematical induction. There is a large section of problems at the end of the book, with the theme of proportions, which until now remained unpublished. I present a critical edition of this material. I also uncover a previously unknown second edition of Maaseh Hoshev. The material is appropriate for creative pedagogy and provides economic details of the author's culture and environs. A previous article presented the first, 15 problems and this article presents the rest. Copyright 2000 Academic Press.Le Maase Hoshev (L'Art du Calcul) de Gersonide est un ouvrage majeur connu pour son usage précoce de preuves combinatoires rigoreuses et de l'induction mathématique. La fin de l'ouvrage comporte une section importante consacrée a une série de trente problèmes sur le thème des proportions qui était restée inédite jusqu'à ce jour et dont je présente pour la première fois une édition critique. Je révèle également l'éxistence d'une séconde édition de Maase Hoshev. Le matériau peut servir de base à des projets de pédagogie créative et offre des détails sur la culture et l'environnement de l'auteur. Cet article fait suite a une première étude qui présentait les quinze premiers problèmes de Maase Hoshev et en présente les quinze autres.  相似文献   

16.
Résumé Soit Γ un quadrilatère variable, dont deux c?tés opposés A2A3, A1A4 sont dans les plans x3=c, x3=−c. Quand c tend vers0, Γ tend vers un quadrilatèreΓ 0 présentant un point double, A0. Le travail étudie la représentation conforme sur le demi-plan R(ix)<0 (ou sur le cercle - unité) de la surface minimale ∑ passant par Γ. Il montre (§ I) que si les affixes x de A1, A2, A4 sont 0, 1, ∞, l'affixe de A3 sera ɛ−2, où ɛ tend vers 0 avec c. Il étudie (§ II) l'allure pour ɛ tendant vers 0 des intégrales canoniques de l'équation linéaire du problème. La forme de la relation entre ɛ et c est indiquée au no 19; on montre que dans la région de striction ɛ |x| reste borné et que la surface ∑ y est assimilable à une surface minimale simple: la surface de vis à filet carré. La représentation conforme de l'une des deux régions de ∑ qui tendent à se séparer l'une de l'autre tend à envahir tout le demi-plan (ou tout le cercle-unité). Les représentations conformes de ∑ pour c>0 et c<0 ne sont pas analytiquement distinctes (n0 20). A titre d'exemple, on étudie (n0 21) le cas où ∑ possède un axe de symétrie. A M. Enrico Bompiani pour son Jubilé scientifique  相似文献   

17.
Soit (Y,Z) un subordinateur bivarié. Nous donnons une condition suffisante pour que Yt/Zt converge vers zéro quand t tend vers 0 ou +∞. Ceci généralise partiellement des résultats de Bertoin et de Kesten–Erickson.Soit X un processus de Lévy et St=sup{Xs: st}. Soit f une fonction sous-additive. En appliquant le résultat précédent au subordinateur bivarié d'échelle, nous donnons des conditions nécéssaires et suffisantes pour que et égalent 0 ou +∞.Let (Y,Z) be a bivariate subordinator. Generalizing theorems of Bertoin and Kesten–Erickson, we give a sufficient condition for Yt/Zt to converge to 0 when t tends either to 0 or +∞.Let X be a Lévy process. Denote by St=sup{Xs: st} and let f be any sub-additive function. Applying our first result to the bivariate ladder process, we give necessary and sufficient conditions for and to be either 0 or +∞.  相似文献   

18.
Let T be an ergodic automorphism of a probability space, f a bounded measurable function, . It is shown that the property that the probabilities μ(|Sn(f)|>n) are of order np roughly corresponds to the existence of an approximation in L of f by functions (coboundaries) ggT, gLp. Similarly, the probabilities μ(|Sn(f)|>n) are exponentially small iff f can be approximated by coboundaries ggT where g have finite exponential moments.

Résumé

Soit T un automorphisme ergodique d'un espace probabilisé, f une fonction bornée mesurable et . Une correspondance est établie entre l'existence de l'estimation des probabilités μ(|Sn(f)|>n) d'ordre np et l'existence de l'approximation dans L de la fonction f par des cobords ggTg est “presque” dans Lp. De manière similaire, les probabilités μ(|Sn(f)|>n) sont d'ordre ecn, pour un certain c>0, n=1,2… , si et seulement si f admet une approximation dans L par des cobords ggT avec g ayant des moments exponentiels.  相似文献   

19.
Depuis son voyage à Paris, en 1672, Leibniz se montre intéressé à l'aspect mathématique de la théorie de la probabilité. En automme 1672, il fait la connaissance de Huygens, qui va l'initier en Mathématiques, rencontre Malebranche et Arnauld, et peut examiner, en 1673, quelques-uns des manuscrits de Pascal. De retour à Hanovre, il essaye de faire ses propres calculs. Sont connus déià les manuscrits “Sur le calcul des partis” du 5 janvier 1676 et “De incerti æstimatione,” de septembre 1678, commentés entre autres par K.-R. Biermann. Ici on va commenter un nouveau manuscrit, de 1686, qui résout le fameux problème de Bernoulli sur le sort de deux joueurs et qui est resté inédit jusqu'ici.  相似文献   

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