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相似文献
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1.
Résumé étant donnés une variétéM, un ensemble compactN enM, des entiersr, n avec 1≤rn, un espace euclidienE àn dimensions, uner-variétéA enE et une transformation continuef: N→E−A, alors c'est un problème bien connu s'il existe une extensionf′ def satisfaisantf′(M)∈E−A. Ce problème est discuté.
Riassunto SianoM una varietà,N un insieme compatto inM, 1≤rn degli interi,E uno spazio euclideo adn dimensioni,A unar-varietà inE edf:N→E−A una trasformazione continua. Allora è trattato il problema ben noto dell'esistenza di una estensionef′ dif conf′ (M)E−A.
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2.
Résumé SoitS une variété algébrique complexe singulière, de dimension réelle 2s. M.H. Schwartz et R. Mac-Pherson ont défini des classes caractéristiques, généralisation des classes de Chern, dans l'homologie deS (de telles classes n'existent pas en cohomologie). D'autre part l'homomorphisme de PoincaréH 2s−⋆ (S)→H (S) n'est en géneral, ni injectif, ni surjectif. Cet homomorphisme se factorise par l'homologie d'intersectionIH (S). Il est naturel de se demander quel est le “comportement” des classes deS (classes de M.H. Schwartz-R. Mac-Pherson) vis-à-vis du morphisme canonique α:IH (S)→H(S). J. L. Verdier a construit un exemple dans lequel, le morphisme canonique α n'étant pas injectif, les classes deS peuvent ètre réalisées de plusieurs manières comme images de classes de Chern de variétés lisses, désingularisations deS, et dont l'homologie est isomorphe àIH (S). M. Goresky a construit une variation de cet exemple dans laquelle les classes de Chern ne sont pas dans l'image de α. Nous montrons que ces deux exemples sont cas particuliers d'une même situation:S est un espace de Thom associé à un plongement d'une variétéB dans un espaceIP k . L'essentiel de cet article a été écrit lors d'un séjour des auteurs à l'Université du Rio Grande do Sul (Porto-Alegre-Brésil), sur invitation de M. Sebastiani. Nous le remercions ici, ainsi que l'Université de Porto-Alegre, de leur accueil et de leur hospitalité   相似文献   

3.
Résumé  On montre que siX est un polyèdre idéal complet fini satisfaisant la condition CAT(−1) locale, alors toute isométrie deX homotope à l’identité est l’identité, pourvu queπ 1(X) ne soit pas élémentaire. On montre aussi que le groupe des isométies deX est fini.   相似文献   

4.
Résumé Dans cet article, on démontre un résultat concernant l'ensemble π(θ, h, R) des partie uniformément bornées deR n qui sont des ouverts uniformément lipschitziens de constantes données θ, h et R. On démontre que si la différence symétrique entre2 tels ouverts lipschitziens éléments de π(θ, h, R), est de mesure assez petite, alors ces2 ouverts sont homéomorphes. De plus, l'homéomorphisme est lipschitzien, de constante ne dépendant que de θ, h et R. Entrata in Redazione il 5 aprile 1977.  相似文献   

5.
Résumée On étudie l’équation(1), où ϕ est une fonction additive d’ensemble, définie sur une σ-algèbre &, EP un élément de &, associé au point P, et f une fonction continue de n+1 variables, lipschitzienne par rapport à la dernière. En particulier, on donne une expression simple à l’integrale de l’équation linéaire (5) et du système(22).  相似文献   

6.
Résumé  On dit qu’un homomorphismef :AB d’anneaux commutatifs est un morphisme de cha?ne (resp., den-cha?ne pour un entiern ≥ 1) si toute cha?ne d’idéaux premiers (resp., d’au plusn idéaux premiers) deA se relève en une cha?ne d’idéaux premiers deB. Sif est un morphisme den-cha?ne, alorsf n’est pas forcément un morphisme de (n + 1)-cha?ne, même siA etB sont des anneaux intègres, doncf n’est pas un morphisme de cha?ne. Sif est un morphisme den-cha?ne pour toutn, alorsf est un morphisme de cha?ne. Un morphisme de cha?ne n’est pas forcément un morphisme de cha?ne universel. Pour tout entiern ≥ 2,f est universellement un morphisme den-cha?ne si et seulement sif est universellement un morphisme de cha?ne. Un morphisme qui est universellement de cha?ne et universellement incomparable n’est pas nécessairement entier, même siA etB sont des anneaux intègres de dimension 1 (au sens de Krull).   相似文献   

7.
Résumé Dans un espace projectif S2n−i(n≥3) à 2n−1 dimensions, on étudie un système composé de n congruences non-paraboliques de droites L1, L2, ..., Ln qui jouissent de la propriété que chaque couple de congruences Li,L i+1(i=1, 2, ..., n; Ln+i=Li) est stratifiable dans le sens de Li vers Li+1. à M. Enrico Bompiani pour son Jubilé scientifique.  相似文献   

8.
Résumé  On dit qu'un anneau intègreR est fragmenté si pour tout élément non-inversibler deR, il existe un élément non-inversibles deR tel que r∈∩Rs n. On montre, pour un anneau intègreR qui n'est pas un corps, qu'il existe un idéal maximal deR qui contient une cha?ne strictement croissante d'idéaux premiers deR. Si, de plus,R n'ax qu'un nombre fini d'idéaux maximaux, alors on peut reformuler l'affirmation précédente pour tout idéal maximal deR. Il découle que toute anneau intègreR, qui n'est pas un corps et qui possède un idéal premierP tel queR+PR p soit fragmenté, doit être de dimension infinie (au sens de Krull). On donne un exemple d'un tel anneauR qui n'est pas fragmenté.   相似文献   

9.
Riassunto Si utilizzano le successioni regolari relative strette per studiare i moduli di sizigie e i gruppi di omologia del complesso di KoszulK(f1,…,fn;A) di un sistema di elementif 1,…,f n appartenenti ad un anello commutativo con unitàA, estendendo, tra l'altro, un noto teorema diJ. P. Serre valido per le successioni regolari. Numerose applicazioni geometriche illustrano i risultati conseguiti.
Résumé On utilise les suites regulières relatives strictes pour étudier les modules des syzygies et les groupes d'homologie du complex de KoszulK(f 1,…,fn;A) d'un systéme d'élémentsf 1,…,f n d'un anneau commutatif avec unitéA, généralisant un théorème bienc connu deJ. P. Serre valide pour les suites régulières. Nombreuses applications géométriques clarifient les résultats obtenus.


La presente Nota riproduce fedelmente la prima di 3 conferenze, tenuta dall'autore il 12 giugno 1979 alla XVIII Session du Séminaire de Mathématique Supérieures de l'Université de Montréal.

Lavoro eseguito nell'ambito della GNASAGA-CNR.  相似文献   

10.
11.
Résumé Soit X un processus gaussien stationnaire non dérivable. Nous étudions le nombre de passages en zéro du processus régularisé par convolution. Sous des hypothèses peu restrictives sur X, cette variable convenablement normalisée, converge au sens de L 2 quand la taille du filtre tend vers zéro. Lorsque X admet un temps local continu, la limite obtenue est le temps local.
Summary Let {X(t)} be a stationary non differentiable Gaussian process and let ϕɛ(u−1 ϕ(u/ɛ) be an approximate identity. Setting X ɛ(t)=Xɛ(t) and letting N ɛ(T) be the number of zeros of X ɛ in the interval [0, T] it is shown that under weak technical conditions there are constants C(ɛ) so that C(ɛ) N ɛ(T) converges in L 2 as ɛ→0. When X admits a continuous local time, the limit is the local time L(0, T) at zero of X(t).
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12.
Résumé  Une extensionA⊂B des anneaux (commutatifs) satisfait à la propriété si tout arbre dans Spec(B) couvre un arbre dans Spec(A). Il est possible qu'une extension entière d'un anneau Noethérien ne satisfait pas à . SiA⊂B soit unei-extension satisfaisante à soit “going-up” soit “going-down”, alorsA⊂B satisfait à . Cependant, une extension d'anneaux satisfaisante à “going-up”, “going-down”, et peut être nonunibranche dans hauteur >1. Un anneau intègreA a le spectre d'un arbre si et seulement siA⊂B satisfait àP pour tout anneau intègreB contenantA (resp., suranneau de BézoutB deA). De plus, si un anneau intègreA n'ait pas de spectre d'un arbre mais soit localement de dimension finie, (par exemple, tout anneau intègre Noethérien de dimension au moins 2), alors il existe un suranneau de BézoutB deA et un arbre saturé dans Spec(B) de sorte que card=4 et l'image de à l'égard de la flèche canonique Spec(B)→Spec(A) est un ensemble saturé tel que card =3 mais n'est pas d'arbre. On donne également des caractérisations associées des classes desi-domaines et des ai-domaines.   相似文献   

13.
Résumé. Soit L : T M → ℝ un lagrangien optique et homogène dans la fibre défini sur le fibré tangent d’une variété orientable de dimension n et γ un lacet régulier 1-périodique qui est un point critique non dégénéré d’indice p de l’action lagrangienne associée à L (il lui correspond alors un point périodique (x, v) du flot d’Euler-Lagrange (φt )). Soit T une transversale en (x, v) au champ de vecteurs dans la surface d’énergie et P l’application de premier retour de Poincaré dans cette transversale; on montre alors que le nombre de Lefschetz pour P en (x, v) est (−1)n−1+p. On en déduit que si 2nh est le nombre de multiplicateurs de Floquet réels strictement positifs et non nuls, alors: nh = n − 1 + p (mod 2). On explique comment déduire qu’un lagrangien optique quelconque défini sur le fibré tangent d’une variété orientable compacte de dimension paire de π1 non trivial a une une orbite périodique qui est soit dégénérée, soit a un exposant de Floquet hyperbolique dans tout niveau d’énergie au dessus du niveau critique de Ma?é.   相似文献   

14.
Riassunto In questo articolo vengono presentati due nomogrammi che servono come sostegno per la rappresentazione di funzioni a più variabili. Ognuno di questi nomogrammi è costituito da due reticolati sovrapposti disegnati in due colori complementari. Essi vengono osservati attraverso le lenti di occhiali anaglifici colorate ciascuna in uno dei due colori dei reticolati. Le condizioni particolari del disegno sono state scelte allo scopo di ottenere la visione stereoscopica del medesimo. Ne segue che le coppie di punti corrispondenti dei reticolati vengono viste come punti unici sopraelevati dal piano del nomogramma di altezze che vengono misurate per mezzo di un indice mobile. Data la funzione (1)F1, α2..., αn) din variabili indipendenti (α1, α2..., αn) separate o separabili riportiamo le scale delle funzioni parziali che costituiscono la (1) su i lati inferiori e di destra dei due reticolati e poi misuriamo, per mezzo dell'indice mobile, le altezze dei punti stereoscopici, visti attraverso gli occhiali anaglifici, che corrispondono agli adatti valori delle funzioni parziali. Con questo metodo si possono rappresentare funzioni di 8 variabili indipendenti legate fra loro per mezzo di operazioni razionali e irrazionali.
Résumé Cet article montre deux nomogrammes qui servent de support pour la représentation de fonctions à plusieurs variables. Chaque nomogramme est constitué de deux réseaux superposés, dessinés aux deux couleurs complémentaires, qui sont observés à travers les lentilles de lunettes anagliphiques. Les conditions particulières du dessin ont été choisies dans le but d'obtenir sa vision stéréoscopique. Il s'ensuit que chaque couple, des points correspondants des réseaux, est vu comme un point unique surélevé au dessus du plan du nomogramme par une hauteur mesurée à l'aide dun index mobile. Soit (1)F1, α2..., αn) une fonction den variables indépendantes (α1, α2..., αn) séparées ou séparables. Tran?ons les échelles des functions partielles qui costituent la (1) des deux parties du c?té inférieur et du c?té droit des deux réseaux. Après cela mesurons à l'aide de l'index mobile les hauteurs des points stéréoscopiques, vues à travers les lunettes, qui correspondent aux valeurs données des fonctions partielles. En se servant de cette méthode on peut représenter des fonctions de 8 variables indépendantes liées entre elles par des opérations rationnelles et irrationnelles.


L. Bonfiglioli,Anaglyphic Calculating Apparatus, Photogrammetric Engineering, U.S.A. (In corso di stampa).  相似文献   

15.
Résumé On considère K un corps complet pour une valuation discrète, de caractéristique nulle et dont le corps résiduel est supposé parfait de caractéristique p. On appelle e l’indice de ramification absolue de K, son anneau des entiers, et une cl?ture algébrique. Soit X K un schéma propre et lisse sur K admettant un modèle propre et semi-stable X sur . Généralisant les résultats de Breuil (valables pour e=1), on démontre dans cet article un isomorphisme de périodes reliant le r-ième groupe de cohomologie étale de à coefficients dans ℤ/p n ℤ et un r-ième groupe de cohomologie log-cristalline de la fibre spéciale de X. Nous avons toutefois les restrictions er<p-1 et e(r+1)<p-1 si n>1. On en déduit une preuve complète de la conjecture de Serre sur l’inertie modérée (voir [Ser72]).  相似文献   

16.
Résumé Nous avons formé dans le premier mémoire une solution formelle de(28.1) ordonnée suivant les puissances entière des solutions de(E). En annulant les Zj qui correspondent aux polynomes de degrés différents de σv*(<σi*), nous obtenons une solution formelle (F v). Dans le chapitre III, nous cherchons la condition suffisante pour la convergence uniforme de la série formelle (F v). Dans le chapi tre IV, ce résultat est étendu au cas où la solution formelle dépend essentiellement des polynomes λj(x) de divers degrés. Le dernier chapitre est consacré à l'extension du théorème d'existence deM. M. Hukuhara qui joue un r?le important dans notre Mémoire.  相似文献   

17.
Résumé Sur la droite projective, la notion de connexité est intuitive. Dans un espace projectif En, un ensemble est dit:linéairement connexe, si toutes ses traces sur les droites de En sont connexes. Deux ensembles complémentaires sont simultanément linéairement connexes ou non. On définit l'index (d'expansion linéaire intérieure) d'un ensemble linéairement connexe, possèdant des points intérieurs, comme le nombre maximum de dimensions des multiplicités linéaires qu'on peut mener à l'intérieur de l'ensemble. C'est uń nombre positif ou nul. Soient dans En deux ensembles complémentaires linéairement connexes possèdant chacun des points intérieurs: An et Bn. Leurs index respectifs αn et βn, satisfont à la relation: αn + βn +1 ≤ n. L'essentiel des résultats du Mémoire est le suivant: Si αn et βn sont tout deux nuls ou positifs, la frontière commune Fn, à An et Bn, estalgébrique et du secoud degré; si un seul est nul, Fn estconvexe, dégénérée ou non, mais pas nécessairement algébrique. Dans tous les cas la connaissance de αn et βn permet de préciser la nature de Fn. En particulier, si αn + βn +1 = n, Fn est sans singularité, et réciproquement.  相似文献   

18.
Résumé Soit Γ un quadrilatère variable, dont deux c?tés opposés A2A3, A1A4 sont dans les plans x3=c, x3=−c. Quand c tend vers0, Γ tend vers un quadrilatèreΓ 0 présentant un point double, A0. Le travail étudie la représentation conforme sur le demi-plan R(ix)<0 (ou sur le cercle - unité) de la surface minimale ∑ passant par Γ. Il montre (§ I) que si les affixes x de A1, A2, A4 sont 0, 1, ∞, l'affixe de A3 sera ɛ−2, où ɛ tend vers 0 avec c. Il étudie (§ II) l'allure pour ɛ tendant vers 0 des intégrales canoniques de l'équation linéaire du problème. La forme de la relation entre ɛ et c est indiquée au no 19; on montre que dans la région de striction ɛ |x| reste borné et que la surface ∑ y est assimilable à une surface minimale simple: la surface de vis à filet carré. La représentation conforme de l'une des deux régions de ∑ qui tendent à se séparer l'une de l'autre tend à envahir tout le demi-plan (ou tout le cercle-unité). Les représentations conformes de ∑ pour c>0 et c<0 ne sont pas analytiquement distinctes (n0 20). A titre d'exemple, on étudie (n0 21) le cas où ∑ possède un axe de symétrie. A M. Enrico Bompiani pour son Jubilé scientifique  相似文献   

19.
Sans résumé Les résultats obtenus parM. Humbert ont déjà été trouvés parM. Weierstrass bien des années auparavant et communiqués par lui dans son, cours sur les fonctions abéliennes. Mais la méthode suivie par les deux savants est tout à fait différente. ChezM. Weierstrass les conditions pour qu'une intégrale de la forme ∫R(x,y)dx soit une fonction algébrique dex découlent, comme simple corollaire, du théorème sur la réduction de chaque intégrale de la forme considérée à une somme d'intégrales normales de la première, de la seconde et de la troisième espèce. Pour effectuer cette réduction il faut et il suffit de conna?tre: 1o les coefficients des puissances négatives det aux environs de tous les points analytiques pour lesquels le développement deR(x t,yt)dxt/dt contient en général des puissances négatives det; 2o la valeur deR(x, y) pourp points analytiques réguliers (a 1, b1), …, (tp, bp) choisis arbitrairement. Le, théorème deM. Weierstrass est cité, quoique sans démonstration, dans la thèse inaugurale deM. Hettner (Berlin, 1877).  相似文献   

20.
    
Résumé SoitT un courant positif fermé sur un voisinage de 0 dansC n. Nous montrons queT admet un c?ne tangent (limite de la famille de ses homothétiques), dès que les masses projectivesv T(r) convergent assez vite versV T(0) pour que (v T(r)−v T(0))/r soit localement sommable enr=0. Cette condition suffisante est optimale: nous construisons des courants de bidegré (1, 1) n'ayant pas de c?ne tangent, tels que l'intégrale de (v T(r)−v T(0))/r soit aussi peu divergente qu'on le souhaite. LorsqueT est le courant d'intégration sur un ensemble analytique, on vérifie quev T(r)−v T(0)=0r ε), ce qui redonne le théorème de Thie-King sur l'existence du c?ne tangent.  相似文献   

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